Postdrome... Un groupe qui certainement - et ce malgré une grande discrétion - restera dans les mémoires. Ici, un ambient des plus épuré, parfois rappelant les bruits de l'océan, parfois le bruit de la cigarette qui se consume lorsque l'on est sous un auvent un jour de pluie.
Au-delà de ces subjectivités, "Never Without" a un mérite et pas des moindres : nous transporter à des milliers de kilomètres en quelques nappes sonores. La grande profondeur des sons n'y est pas pour rien, et les amateurs d'ambient n'y sont pas étrangers. Certes, mais alors quoi de plus ici qu'ailleurs ?
La sincérité. Chaque "glitch" électronique, petits bugs d'arrière-plan, semble sorti du cerveau - un chouilla planté! - de Charlie Floyd. Le plantage se répand, c'est un bug généralisé. Dans le piano à queue, ou dans la voix. Tout à planté.
Une perle prismatique.
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