Gimu s'amuse avec l'innocence d'un enfant d'un an à nous livrer des titres de 10min qui ne sont que des boucles répétées. Ce n'est pas sans me rappeler un certain Celer et son "Butterflies". Cet album aurait coûté cher, je l'aurais dit dispensable. Mais Heat Death Records a su raison garder, et au prix où c'est, il vous faut foncer. Foncer vous échouer sur une plage, toujours la même. Dès que l'on ferme les yeux. Ces vagues immobiles... ces nuages qui tissent les pluies au loin.
Une prière certes, pour un temps à jamais arrêté.
Efficace, mélancolique et nuageux... Averse passagère garantie.
Ça s'achète ici
Et ça s'écoute là
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